KENZO Birthday 80 ans Pavillon Ledoyen Yannick Alleno 3 étoiles Michelin Champs-Elysées #KENZO #PavillonLedoyen #YannickAlleno
Fringant, pas une ride, Kenzo, en costume traditionnel de son pays qu’il troquera pour une tenue dorée – dresscode de la soirée –, avait réuni les amis rencontrés depuis les années 1970.
Au rez-de-chaussée du pavillon Ledoyen, un décor éblouit les invités : cerisiers en fleur, lustres et chandeliers ornés d’orchidées blanches.
Les mannequins des défilés du créateur étaient là : la Hollandaise Marpessa Hennink, Ceyla Lacerda, l’épouse de Pierre Richard, Pat Cleveland, Cristina Cordula, heureuses de retrouver Gilles Bensimon qui les avait si souvent shootées.
Quant à Satya Oblette, son top masculin fétiche, on reconnaissait sa chevelure peroxydée et sa belle stature.
Près du bar à sushis L’Abysse, où officie le chef Yasunari Okazaki, que Yannick Alléno a convaincu de travailler à Paris, on remarquait Guy Cuevas, le DJ des nuits du Palace qui concoctait la musique des défilés de Kenzo, des créateurs comme Chantal Thomass, Angelo Tarlazzi, Michel Klein, Irié, Jean-Charles de Castelbajac ;
des figures de la mode comme Didier Grumbach et sa sœur Sylvie ; des coiffeurs tels Alexandre Zouari ou Massato. Fan de la mode du Nippon, Jane Birkin croisait l’artiste Setsuko Klossowska de Rola, Nicoletta, Eva Ionesco et son mari Simon Liberati, Juliette Besson, Sarah Lavoine.
Sans oublier Hiroko Matsuda, amie depuis soixante ans.
Lorsque la pièce montée arriva, 300 papillons s’envolèrent, et, au milieu des vivats, la star de la soirée ouvrit son plus beau cadeau : la bague Trinity de Cartier.
Tard dans la nuit, Kenzo assurait : « Je suis heureux d’être en bonne santé et entouré de vous tous ce soir ! »
Au rez-de-chaussée du pavillon Ledoyen, un décor éblouit les invités : cerisiers en fleur, lustres et chandeliers ornés d’orchidées blanches.
Les mannequins des défilés du créateur étaient là : la Hollandaise Marpessa Hennink, Ceyla Lacerda, l’épouse de Pierre Richard, Pat Cleveland, Cristina Cordula, heureuses de retrouver Gilles Bensimon qui les avait si souvent shootées.
Quant à Satya Oblette, son top masculin fétiche, on reconnaissait sa chevelure peroxydée et sa belle stature.
Près du bar à sushis L’Abysse, où officie le chef Yasunari Okazaki, que Yannick Alléno a convaincu de travailler à Paris, on remarquait Guy Cuevas, le DJ des nuits du Palace qui concoctait la musique des défilés de Kenzo, des créateurs comme Chantal Thomass, Angelo Tarlazzi, Michel Klein, Irié, Jean-Charles de Castelbajac ;
des figures de la mode comme Didier Grumbach et sa sœur Sylvie ; des coiffeurs tels Alexandre Zouari ou Massato. Fan de la mode du Nippon, Jane Birkin croisait l’artiste Setsuko Klossowska de Rola, Nicoletta, Eva Ionesco et son mari Simon Liberati, Juliette Besson, Sarah Lavoine.
Sans oublier Hiroko Matsuda, amie depuis soixante ans.
Lorsque la pièce montée arriva, 300 papillons s’envolèrent, et, au milieu des vivats, la star de la soirée ouvrit son plus beau cadeau : la bague Trinity de Cartier.
Tard dans la nuit, Kenzo assurait : « Je suis heureux d’être en bonne santé et entouré de vous tous ce soir ! »
